23 Mars : Réforme des retraites : pour le retrait, on continue !

Réforme des retraites : pour le retrait, on continue !

La formidable mobilisation sociale organisée par l’ensemble des organisations syndicales est engagée depuis le 19 janvier. Depuis deux mois, ce sont des millions de travailleurs-euses, jeunes, retraité.es qui ont exprimé.es avec force et dignité leur refus d’un recul de l’âge légal à 64 ans et d’un allongement des trimestres de cotisation.

Ce mouvement social a fait la démonstration par les grèves dans tous les secteurs professionnels toujours mobilisés et les manifestations dans les grandes comme dans les petites localités du pays, que cette réforme des retraites était brutale, injuste et injustifiée pour l’ensemble du monde du travail.

Aujourd’hui, c’est ce mouvement social exemplaire qui démontre que le président de la République et son gouvernement sont en échec devant l’Assemblée nationale. Au lieu de retirer leur projet, ils décident de passer en force en ayant recours au 49-3.

L’intersyndicale mesure avec gravité la responsabilité que porte l’exécutif dans la crise sociale et politique qui découle de cette décision, véritable déni de démocratie.

Forte du soutien de la grande majorité de la population, mobilisée depuis des semaines, l’intersyndicale continue à exiger le retrait de cette réforme en toute indépendance dans des actions calmes et déterminées. Elle décide de poursuivre la mobilisation et appelle à des rassemblements syndicaux de proximité ce week-end et à une nouvelle grande journée de grèves et manifestations le jeudi 23 mars prochain.

Communiqué de presse intersyndical, le 16 mars 2023

Non à la réforme des retraites ! J'écris à mon parlementaire:

Message de la FSU et du snesfsu auquel s’associe le snepfsu :
 

La FSU Mayotte a pris l’initiative d’écrire, hier, une lettre ouverte ( communiquée aux médias ) aux deux députés de Mayotte pour leur demander de voter la motion de censure transpartisane. Nous savons aujourd’hui que Mme la Députée Youssouffa votera cette motion présentée par le groupe parlementaire auquel elle appartient. Nous attendons la réponse de M. le Député Kamardine…

De plus, nous avons quelques retours après l’emballement médiatique ayant fait suite aux annonces sur « la grève pendant les épreuves du bac » de la part du SNES-FSU.

C’est ainsi que l’intersyndicale de l’éducation a déposé un préavis de grève qui couvre la période des épreuves de spécialités. Dans l’hypothèse où le gouvernement n’aurait pas retiré son projet de réforme des retraites, elle appelle tous les collègues à décider de la poursuite de l’action et à poursuivre la mobilisation pendant les épreuves de spécialité y compris par la grève des surveillances là où cela est possible.

Il ne s’agit pas d’un blocage, pas non plus d’une grève du bac à proprement parler mais d’une grève « là où cela est possible » des surveillances. 

La FSU Mayotte »

 

Pour le snepfsu

PAUL VANWEYDEVELD
CO – SECRÉTAIRE ACADÉMIQUE

Face à la surdité du gouvernement : le 7 mars mettons la France à l’arrêt !

Face à la surdité du gouvernement : le 7 mars mettons la France à l’arrêt !

Malgré une large opposition de la population au projet de réforme des retraites, des mobilisations d’ampleur, le gouvernement entend poursuivre coûte que coûte son projet injuste et brutal. 

 

Face à l’apparente inflexibilité du pouvoir, il nous faut passer un cran supplémentaire dans le rapport de force. C’est pourquoi, l’intersyndicale, plus unie que jamais, appelle à mettre la France à l’arrêt le 7 mars. Ainsi dans nos secteurs, quel que soit notre lieu d’exercice, nous devons collectivement contribuer à cet objectif. 

 

Dès le lendemain, 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, les salarié.es sont également appelé.es à prendre part à la grève féministe qui aura comme objet principal le rejet de la réforme prévue qui impactera encore plus les femmes. 

 

Le 9 mars sera la journée de mobilisation de la jeunesse contre cette même réforme.

 

La poursuite de la mobilisation en cette rentrée de vacances d’hiver doit marquer le paysage et franchir un nouveau cap au moment où le projet de réforme est discuté au Sénat. 

 

D’ores et déjà l’intersyndicale projette d’amplifier le mouvement social, des secteurs annoncent un durcissement de la mobilisation en ayant recours à la reconduction de la grève comme à la SNCF, la RATP, chez les gaziers et électriciens, les raffineurs…Dans ce contexte et face à un gouvernement fébrile et en grande difficulté pour défendre et justifier sa réforme, il faut appuyer sur l’accélérateur afin de transformer la colère qui gronde en véritable raz de marée pour obtenir son retrait. Les HIS et AG là où elles sont possibles doivent mettre en débat toutes les perspectives pour amplifier la mobilisation (reconduction, examens…).

 

La victoire est possible, quoi qu’ils en laissent penser, car nous sommes unis et mobilisés alors que les promoteurs de la réforme sont de plus en plus seuls !

 

Retrouvez ici l’ensemble du matériel réalisé par le SNEP-FSU sur les retraites. 

 

Le secrétariat national

(source lesite.snepfsu.fr)

Le 31, se mobiliser encore plus fortement  Aller manifester pour gagner

Le 31, se mobiliser encore plus fortement 
Aller manifester pour gagner

Enquête UNSS empêchée

L’an dernier le SNEP Mayotte avait initié une enquête ‘l’UNSS empêchée » auprès de vous pour connaître  le nombre de classes qui avait cours le mercredi après-midi dans chaque établissement.

Cela avait confirmé une tendance, à savoir qu’en lycée le nombre de classes qui ont cours le mercredi après-midi est important. Nous avions remonté ces informations au Rectorat et aux cadres de l’UNSS, notamment, pour mettre en exergue nos difficultés professionnelles à faire fonctionner les AS.

Nous vous proposons de recommencer la même opération cette année avec votre concours, renseigner le nombre de classes qui ont cours le mercredi après-midi par rapport à la totalité des classes de votre établissement.

L’objectif est de mettre en lumière et chiffrer les difficultés que vous pouvez ressentir dans vos AS .

https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScfP_PuQoUTjFcuNUb027_jJhMS7RXRe2nk-iOGt6PMIok99A/viewform?usp=sf_link

Résultats au 25/09/2022

Quel est votre établissement ?Combiens de classes avez-vous dans votre établissement ?Combiens de classes ont cours le mercredi après-midi ?
COLLEGE ZENA M DERE520
COLLEGE M GOMBANI640
COLLEGE MARCEL HENRY350
COLLEGE MARCEL HENRY360
CLG BOUENI310
COLLEGE BAKARI KUSU470
COLLEGE DE KOUNGOU7550
COLLEGE DE OUANGANI520
LP DE KAHANI6943
LYCEE DE PETITE TERRE6240
COLLEGE DE TSINGONI480
LYCEE YOUNOUSSA BAMANA6632
LP DE BANDRELE3131
LP KAWENI6040
LPO DE MAMOUDZOU NORD6833
LYCEE DE DEMBENI7455
LYCEE DE CHIRONGUI5645
LP DE SADA7340
LP DE BANDRELE3333

Le 17 mars, journée unitaire et interprofessionnelle de mobilisation pour l’augmentation des salaires !

Le 17 mars, journée unitaire et interprofessionnelle de mobilisation pour l’augmentation des salaires !

Les quelques

 

mesures que le gouvernement déclenche, opportunément à quelques semaines d’une élection politique importante ou celles qu’il a prises sous la contrainte de la crise sanitaire (comme le Ségur de la Santé par exemple), ne peuvent faire oublier son vrai bilan…
Rien n’a été fait pour conforter, augmenter, revaloriser les rémunérations des agent-es de la fonction publique.
Si ces mesures de dernière minute sont bienvenues tant le pouvoir d’achat de toutes et tous est impacté par l’inflation galopante, elles n’effacent pas la réalité d’une politique orientée contre les rémunérations des personnels de la fonction publique…lire le tract FSU

GRÈVE DU 27 JANVIER 2022

GRÈVE DU 27 JANVIER 2022

POUR DES AUGMENTATIONS IMMEDIATES ET GENERALES DES SALAIRES.

TOUTES ET TOUS EN GREVE, LE JEUDI 27 JANVIER 2022

A Mayotte, alors que l’inflation a repris à un rythme plus soutenu et que le gel du point d’indice est maintenu, que la crise de recrutement s’intensifie en cette période de pandémie dans un contexte de violence et d’isolement, le MEN continue à tergiverser sur les mesures d’augmentation indemnitaire et plus largement le pouvoir exécutif a annoncé sa volonté de ne procéder à aucune augmentation des salaires avant l’élection présidentielle.

Cette situation est totalement inacceptable. Les organisations CGT, FO, FSU et Solidaires des trois versants de la fonction publique ne céderont rien sur leurs légitimes revendications en matière de rémunération. 

Plus globalement, elles continuent d’agir en faveur de la défense des missions publiques : l’amélioration des conditions de travail et la création d’emplois. Elles appellent l’ensemble des agentes et des agents de la Fonction publique à participer à la journée de mobilisation unitaire interprofessionnelle du 27 janvier.

En refusant toute réelle négociation, c’est le gouvernement qui porte l’entière responsabilité du blocage actuel. Pour :

➢ Hausse de l’indexation pour toutes les agentes et tous les agents de la fonction publique (au minimum à 1,53.)

➢ Instauration de l’ASA (Avantage Spécifique d’Ancienneté) dans l’ensemble du département de Mayotte

➢ Versement d’une ISG par agent et non par couple, sans pénalité en cas de départ anticipé.

➢ Pour les agents du rectorat, évolution de l’indemnité de remboursement partiel de

loyer (IRPL) vers le taux le plus élevé servi par les autres ministères.

➢ Instauration de l’IRCANTEC (cotisation retraite) pour les contractuels.

➢ Prise en compte de l’ancienneté générale de services (AGS) pour les anciens fonctionnaires de la collectivité.

En grève et dans l’action jeudi 13 janvier: face à la crise sanitaire,respecter les personnels, donner à l’Ecole les moyens de fonctionner

En grève et dans l’action jeudi 13 janvier

https://lesite.snepfsu.fr/a-la-une/en-greve-et-dans-laction-jeudi-13-janvier/ 

Face à la crise sanitaire, respecter les personnels, donner à l’Ecole les moyens de fonctionner !

Depuis la rentrée de janvier, l’épuisement et l’exaspération de toute la communauté éducative atteignent un niveau inédit. La responsabilité du ministre et du gouvernement dans cette situation chaotique est totale du fait de changements de pied incessants, de protocoles intenables et d’absence de moyens donnés pour assurer le fonctionnement de l’Education. Malgré une amplification jamais vue de l’épidémie, l’École ne bénéficie pas de l’organisation protectrice qui serait nécessaire pour assurer la sécurité des élèves, des personnels et de leurs familles. Les retours au compte- gouttes des élèves générant des aménagements pédagogiques rendent difficiles les conditions d’apprentissage. Pénurie des remplacements, gestion des tests et des absences des élèves dégradent fortement les conditions de travail.

Pourtant les écoles, collèges et lycées doivent avoir les moyens de fonctionner en toute sécurité. Sur le terrain, les collègues se mobilisent d’ores et déjà pour demander que l’Ecole soit respectée et ont décidé de poursuivre la semaine prochaine dans de nombreux endroits. Les fédérations de l’Éducation nationale FSU, UNSA, FO, CGT Educ’action, SNALC, SNE, SUD Education, la fédération de parents d’élèves FCPE, les organisations lycéennes MNL, La Voix Lycéenne, la FIDL, appellent l’ensemble des personnels à se mettre en grève et l’ensemble de la communauté éducative à se mobiliser jeudi 13 janvier pour faire entendre leur colère et obtenir une politique cohérente de protection et de prévention à la hauteur des enjeux sanitaires, scolaires et sociaux.

Cela passe par une autre gestion de l’épidémie à l’École avec les moyens et les protections pour faire face à la crise en élaborant un protocole viable et qui ne mette pas en difficulté les personnels sur la gestion des cas positifs, des cas contacts et des campagnes de tests préventifs, en dotant d’équipements de protection les personnels, les écoles et les établissements et en attribuant les moyens humains nécessaires notamment par la création de postes via les listes complémentaires tout en programmant dès maintenant un collectif budgétaire.

Violences et Insécurité en EPS à Mayotte

Nous constatons cette année une dégradation rapide des conditions de sécurité sur les installations extérieures aux établissements tant dans leur nombres que dans la gravité des faits. 

Que ce soit pendant les cours d’EPS ou même lors des rencontres UNSS la situation est plus que préoccupante sur toute l’île et nécessite une réponse institutionnelle et des mesures urgentes. 

Le SNEP-FSU Mayotte soutenu par le SNEP FSU national a souhaité réagir face à ce constat par une lettre au ministre : 

http://www.snepfsu-mayotte.net/wp-content/uploads/2021/11/lettre-ministre.pdf

 

La semaine de l’EPS a lieu du 15 au 19 novembre 2021

La semaine de l'EPS 2021

La semaine de l’EPS a lieu du 15 au 19 novembre 2021. A cette occasion le SNEP souhaite promouvoir la pratique sportive des jeunes et milite pour que les élèves bénéficient de 4 heures d’EPS durant toute leur scolarité.

 

Cette avancée permettrait de répondre aux problématiques de sédentarité des jeunes mais aussi de favoriser la continuité pédagogique.

A Mayotte, l’idée est donc durant cette semaine de mettre en avant les pratiques sportives en EPS.

Nous invitons les enseignants à envoyer au SNEP des photos caractérisant les cours d’EPS, à savoir de l’action, des émotions et des échanges !

Vous pouvez nous envoyer les photos à l’adresse suivante : snep.cosecretaires@gmail.com 

Ces photos seront téléchargées sur notre site snepfsu-Mayotte. Si elles sont de bonne qualité nous pourrions éventuellement élire les plus explicites au regard de nos conditions de travail (difficiles ou plaisantes).

MERCI D’AVANCE POUR VOTRE PARTICIPATION.

Notre profession est en danger, il est urgent de réagir !

Nous aimons notre métier et il est temps de le montrer et de le partager. L’EPS est central dans l’éducation des jeunes, malheureusement nous sommes les seuls à le savoir …  Alors communiquons !